Les bons réflexes pour limiter la consommation de papier en entreprise

Ce contenu a été publié sous le gouvernement de la Première ministre, Élisabeth Borne.

Publié 28/06/2022

La situation actuelle du marché international du papier engendre des difficultés d’approvisionnement et un début de pénurie.

Je n'imprime que ce qui est strictement nécessaire

Je lis mes courriels et documents à l’écran ;
je n’imprime que ce qui nécessite une transmission « physique » du document ;
je signe numériquement mes documents et les transmets par courriel sans les imprimer ;
pour mes réunions, je n’imprime pas mes documents de présentation que je transmets par courriel aux participants (en leur demandant de ne pas les imprimer). Pendant la réunion, je projette mes documents à l’écran. Je limite ainsi des impressions inutiles et l’utilisation de chemises et sous-chemises ;
je communique « sans papier » en travaillant avec des collaborateurs sur un même document via les marques de révision et en échangeant à l’écran avec le partage de documents. ;
j’utilise les outils de transfert de documents volumineux si ma messagerie ne suffit pas.

Si je dois imprimer, je lance mes impressions en recto/verso et en noir et blanc tout en limitant le nombre de copies.

Je réutilise les feuilles déjà imprimées d’un seul côté et en fait des brouillons ;
je réutilise les chemises et pochettes de classement ;
je pense au tri et au recyclage en jetant tous les papiers/journaux/documents et cartons dans la partie « papier » de ma poubelle de bureau ou dans les collecteurs d’étages prévus à cet effet.

Le papier se recycle entre 5 et 7 fois.

Je ne constitue pas de stocks importants de fournitures ni de ramettes de papier ;
je limite le stock de papeterie, enveloppes, fournitures et le partage avec mes collègues ;
je vérifie ce que j’ai dans mes placards avant de passer commande.