Développer le recours au travail d’intérêt général (TIG)

Ce contenu a été publié sous le gouvernement du Premier ministre, Édouard Philippe.

Publié 12/11/2019

30 000 postes de travaux d’intérêt général (TIG) seront développés d’ici à 2022. Pour les magistrats, les TIG sont une alternative aux courtes peines d’emprisonnement.

Moins d’un an après la création de l’agence du travail d’intérêt général et de l’insertion professionnelle des personnes placées sous main de justice, Nicole Belloubet a signé un accord-cadre avec 34 partenaires nationaux et des ministères, pour accueillir des personnes devant réaliser un TIG. Le palais de l'Élysée lui-même va en accueillir dès 2020.
Aujourd’hui, les TIG ne représentent que 6% des peines prononcées. Selon la chancellerie, ce chiffre est dû au manque de postes proposés. D’où la signature de cet accord-cadre pour passer de 18 000 à 30 000 postes à fin 2022.
La signature de ces partenariats montre l’engagement de l’ensemble de la société pour une peine qui lutte efficacement contre la récidive et favorise l’insertion des personnes condamnées. Les TIG donnent à une personne l’opportunité de reprendre confiance et de s’insérer dans la société.

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