Vaccination anti-covid-19 | Le Premier ministre au centre hospitalier de Metz-Thionville

Ce contenu a été publié sous le gouvernement du Premier ministre, Jean Castex.

Publié 14/01/2021

Le jour du lancement de la prise de rendez-vous pour la vaccination pour les personnes âgées de plus de 75 ans, le Premier ministre est allé au centre hospitalier de Metz-Thionville. À cette occasion, il a visité des plateformes d’appel, ainsi que des centres de vaccination, dans le cadre de l’accélération de la campagne nationale.

Publié par gouvernementFR
Bonjour à toutes et à tous, Vous me voyez à Metz ce matin, avec avec les ministres, le ministre de la Santé, et la ministre déléguée en charge des personnes âgées, Agnès PANNIER-RUNACHER, qui s’occupe, vous le savez, de l’approvisionnement en vaccin, tout simplement pour voir comment ça se passe, comment les acteurs locaux se sont organisés, à la fois pour la vaccination des personnels soignants de plus de 50 ans. Et puis aujourd'hui, jour important, pour le début des prises de rendez-vous pour les personnes de plus de 75 ans. Vous savez qu'il y a des prises de rendez-vous qui va se généraliser demain, pour des rendez-vous qui vont être effectifs lundi. Je dois vous dire simplement, mais vous en avez été vous aussi les témoins, que ce que nous constatons ici à Metz, cela vaut aussi pour l'organisation dans l'ensemble du département, nous paraît tout à fait satisfaisant. C'est-à-dire qu'évidemment, nous avons fixé des cadres généraux à l'intérieur desquels les acteurs locaux, l'hôpital, la médecine de ville et évidemment, les autorités sanitaires, l’ARS, le préfet, les élus locaux ont décliné, si je puis dire, la stratégie vaccinale. Et on l'a vu, ça se passe bien, ils sont bien en avance pour la prise d’appels téléphoniques. J’ai moi-même, sans me présenter, pris un appel, et fixé un rendez-vous. C'était une fille… une garde, pardon, qui appelait pour ses parents, des personnes âgées, voilà. Donc les choses se mettent en place. J’en profite pour dire qu’il faudra aussi être patient, parce qu’évidemment, ça va susciter un rush, c’est tout à fait normal. Les rendez-vous vont s’étaler. C’est une très grosse opération inédite, avec, je vous le rappelle aussi, un vaccin qui a des caractéristiques telles, il faut le conserver à -80 degrés ici au CHR de Metz, ce qui crée des contraintes que chacun comprendra, mais on va le faire. Dernier point, je pense, avec le ministre de la Santé extrêmement important. Au-delà de l'aspect quantitatif c'est-à-dire, on veut vacciner le plus possible, le plus vite possible, il y a la crédibilité de toute cette opération. J'ai déjà parlé, c'est-à-dire, à nous assurer, nous garantir que les choses se font dans le plus grand sérieux, et vraiment, vraiment, mais là encore, vous avez pu le voir, on voit que toutes les garanties sont prises. Ce n'est pas de la paperasserie. J'entends parfois, la paperasserie, évidemment, il faut faire la chasse de toutes les procédures inutiles, mais il y a quand même un certain nombre de règles à observer, pour bien garantir encore une fois à l'ensemble de nos concitoyens, que cette opération vaccinale se déroule dans les meilleures conditions de sécurité sanitaire possible. Il en va de l'adhésion de nos concitoyens à cette opération qui est un critère capital. Je constate avec satisfaction que grâce à tout ce qui est mis en place, l'adhésion à la vaccination augmente et c'est une excellente chose pour notre pays. Merci. Je m'exprimerais ce soir.

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