Le SGPI à la découverte des entreprises iséroises soutenues par les investissements d’avenir.

Ce contenu a été publié sous le gouvernement du Premier ministre, Édouard Philippe.

Publié 30/11/2019|Modifié 19/12/2019

Le secrétaire général pour l'investissement, Guillaume Boudy, s'est rendu à Grenoble les 27 et 28 novembre derniers afin de prendre le pouls de l’écosystème de l’innovation isérois. Au programme, plusieurs visites de structures financées par le PIA dont l'institut 3IA de l’Université de Grenoble, l'entreprise WAGA Energy, l'Institut de recherche technologique (IRT) Nanoélec, et l'entreprise ER2i. Focus sur quelques points d’étapes.

accueil robotisé À l'institut miai

Guillaume Boudy s'est rendu à l'Université de Grenoble qui accueille l'un des 4 instituts interdisciplinaires d'Intelligence Artificielle (3IA) français, le MIAI (Multidisciplinary Institute in Artificial Intelligence). Cet institut privilégie deux domaines d'application que sont la santé et l'environnement/l'énergie. Répartis sur l'ensemble du territoire, les instituts 3IA ont fait l'objet d'une sélection par un jury international qui a privilégié 4 sites considérés comme étant les plus visibles et porteurs de stratégies les plus abouties en matière d'IA : Nice, Toulouse, Paris et Grenoble. Ces institus sont labellisés pour une période initiale de quatre ans, assortie d'un financement minimal du programme priroritaire de recherche du troisième volet du Programme d'Investissement d'Avenir (PIA) à hauteur de 75 millions d'euros.

waga energy, "un enfant du pia"

Guillaume Boudy a eu l'occasion de découvrir le projet Wagabox1, porté par WAGA Energy, située à Meylan (38). Depuis près de 10 ans, et à travers son soutien financier à de nombreux projets, le PIA cherche à développer un modèle de transition écologique qui s'étendrait sur l'ensemble du territoire, ainsi que des initiatives soutenant l'attractivité mondiale de nos innovations. Cette PME innovante valorise, sous forme de biométhane, le biogaz issu des installations de stockage de déchets non dangereux (centres d'enfouissement). Le coût du projet était de 4,261 millions d'euros pour une aide du PIA à hauteur de 2,278 millions d'euros sous forme de subventions et d'avances remboursables dans le cadre du programme "économie circulaire" du PIA. C'est une entreprise emblématique qui s'est particulièrement bien développée et s'attaque désormais au marché américain.

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