"Il n'y a pas d'austérité quand on fait de l'université, de l'école et de la jeunesse la priorité"

Ce contenu a été publié sous le gouvernement du Premier ministre, Manuel Valls.

Publié 30/04/2014

Le Premier ministre est intervenu, mardi 29 avril à l'Assemblée nationale, après le débat qui a suivi son discours sur le Programme de stabilité 2015-2017.

Publié par gouvernementFR
"Nous pouvons nous mettre d'accord sur l'état de la France", a-t-il déclaré. "La responsabilité de ceux qui ont gouverné c'est de se dire au moins sur l'état du pays "mettons-nous d'accord sur le diagnostic" et ensuite, c'est normal, c'est la vie politique, on diverge sur les solutions que l'on veut proposer", a-t-il poursuivi, ajoutant que "les Français en ont assez des discours caricaturaux".
"La politique qui est la nôtre a sa cohérence", a affirmé Manuel Valls. "C'est le soutien à la compétitivité pour l'emploi, et c'est le soutien aux entreprises", a-t-il précisé. "Pour retrouver de l'attractivité pour notre pays, il faut du temps. Ce n'est pas en quelques mois que nous allons inverser cette tendance", a-t-il constaté. "Oui, nous devons soutenir les PME et les PMI", a affirmé le Premier ministre, avant de revenir sur le plan d'économies de dépenses publiques.
"Il n'y a pas d'austérité quand on fait de l'école la priorité et qu'on crée 60 000 emplois. Il n'y a pas d'austérité quand on fait de la jeunesse la priorité". "On ne peut pas se dérober à la responsabilité qui est celle de soutenir ce pacte, cette priorité pour l'école, pour l'éducation et pour la jeunesse de notre pays", a déclaré Manuel Valls.

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