
20 décembre 2016
Enseignement supérieur : la réforme du master a été adoptée
Grâce à la réforme du master, aucun étudiant diplômé de licence et qui souhaite poursuivre son cursus en master ne sera laissé sans solution, sans choix ou sans droit.
Contenu publié sous le Gouvernement Cazeneuve du 06 Décembre 2016 au 14 Mai 2017
Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et Thierry Mandon, secrétaire d'Etat chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, ont salué l'adoption par l’Assemblée nationale de la réforme du cursus conduisant au diplôme national de master, lundi 19 décembre 2016.
Adoptée dans les mêmes termes à l'Assemblée nationale et au Sénat (le 26 octobre dernier), cette proposition de loi sera bientôt promulguée et pourra entrer en vigueur dès la rentrée universitaire prochaine.
Il s'agit d'une réforme équilibrée qui vise à orienter sans empêcher, et à accompagner la démocratisation de l'accès au master :
Cette proposition de loi vient traduire le protocole d'accord conclu le 4 octobre avec les organisations représentatives des étudiants, des personnels et des établissements, dont les termes ont été approuvés à une large majorité le 17 octobre par le Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche (Cneser). C’est "une reconnaissance de l'importance du dialogue social pour réformer l'enseignement supérieur", ont souligné Najat Vallaud-Belkacem et Thierry Mandon.
Adoptée dans les mêmes termes à l'Assemblée nationale et au Sénat (le 26 octobre dernier), cette proposition de loi sera bientôt promulguée et pourra entrer en vigueur dès la rentrée universitaire prochaine.
Il s'agit d'une réforme équilibrée qui vise à orienter sans empêcher, et à accompagner la démocratisation de l'accès au master :
- en supprimant la sélection existante entre la première et la seconde année de master ;
- en permettant aux universités de mettre en place un recrutement à l'entrée du M1 ;
- en créant pour tous les diplômés de licence un droit à la poursuite d'études en master garanti par l'Etat et les recteurs.
Cette proposition de loi vient traduire le protocole d'accord conclu le 4 octobre avec les organisations représentatives des étudiants, des personnels et des établissements, dont les termes ont été approuvés à une large majorité le 17 octobre par le Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche (Cneser). C’est "une reconnaissance de l'importance du dialogue social pour réformer l'enseignement supérieur", ont souligné Najat Vallaud-Belkacem et Thierry Mandon.